Quand j’étais commissaire de Police, j’ai rencontré les vrais gilets jaunes sur les ronds-points : actifs, retraités, étudiants.
La France qui bossait, qui galérait, qui n’arrivait plus à finir le mois.
Cette France des oubliés, la France insoumise n’en parle jamais, ils en ont rien à cirer de cette souffrance profonde.
Puis j’ai vu les gauchos, les antifas et les fous furieux voler ce mouvement populaire, attaquer les forces de l’ordre, casser et piller.